Porc au caramel vietnamien (thịt kho trứng)

Au Vietnam, le porc au caramel et aux oeufs ou en vietnamien le thịt kho trứng d’origine du Sud, est l’un des plats les plus populaires faisant également partie des  plats servis au nouvel an vietnamien, le Tết. Il ne faudrait pas confondre avec le porc au caramel au poivre (thịt kho tiêu), un plat en sauce à la consistance sirupeuse, bien différent au niveau du goût et de la texture.

Il existe des variantes de ce mets exquis avec l’ajout de gingembre, d’épices diverses, de lait de coco, etc. Voire le remplacement du nuoc mam (nước mắm en vietnamien – sauce de poisson en saumure – le condiment typique du Vietnam) par la sauce de soja ou un mélange des deux. Cependant, je préfère la version simple, sans artifices et tout aussi savoureuse.

La viande est particulièrement moelleuse et parfaitement imprégnée de sa sauce. Aussi étonnant que cela puisse paraître, la couche de gras et la couenne de la poitrine de porc mijotées de cette façon se dégustent facilement sans aucun écœurement. Bien au contraire ! Cela contribue à la richesse de la texture en bouche : le filandreux côtoie merveilleusement bien la douceur fondante du gras et l’élasticité tendre de la couenne. Même à la maison avec deux gourmands exigeants qui n’aiment habituellement ni le gras ni la couenne, ceux-là n’en laissent pas une miette dans leur bol, laissant échapper entre chaque bouchée de riz et de viande de petits grognements de contentement et de plaisir. Ma dernière marmite n’a pas fait long feu…

Voici ma recette du porc au caramel :

Pour 6 personnes. Temps de préparation : 30 minutes. Temps de cuisson : 1 h 15.

Ingrédients :

  • 1 kg de poitrine de porc (non salée – choisir un morceau avec peu de gras)
  • 8 à 10 œufs durs écalés
  • 100 g de sucre
  • 50 ml d’eau pour le caramel
  • 500 ml d’eau ou jus de coco (Pas le lait de coco ! L’eau ou jus de coco se trouve maintenant partout en supermarché au rayon jus de fruits frais, dans les magasins bio ou encore au rayon surgelé des supermarchés asiatiques à Paris)
  • 50 ml de nuoc mam (nước mắm en vietnamien – sauce de poisson en saumure – le condiment typique du Vietnam)
  • 1/2 cuillère à café de sel
  • 1/2 cuillère à café de poivre blanc
  • 4 gousses d’ail (2 gousses grossièrement hachées + 2 gousses finement hachées)
  • Facultatif : 1 petit piment rouge coupé en fines rondelles.
  • 2 cuillères à soupe de ciboulette chinoise ciselée

Préparation :

  • Cuire les œufs dans l’eau bouillante pendant 10 mn. Rincer à l’eau froide pour stopper la cuisson. Laisser tiédir et les écaler. Réserver.
  • Couper la poitrine de porc en gros cubes de 4×4 cm (les morceaux se réduisent beaucoup à la cuisson). Bien conserver la couenne (même si cela vous rebute, cela fait partie du plat. A la cuisson, la couenne se ramollit et devient fondante. Elle permet également une bonne tenue des morceaux.)
  • La différence avec toutes les autres recettes au lieu de mettre les cubes de viandes directement dans le caramel puis d’écumer les impuretés durant la cuisson, je pré-cuis ma viande : Dans une casserole, faire bouillir 2 litres d’eau. Peler les gousses d’ail, hacher grossièrement 2 gousses et les ajouter à l’eau bouillante en même temps que les cubes de porc et la grosse pincée de sel. Baisser le feu en gardant un frémissement et cuire pendant 15 minutes. Écumer les impuretés pendant la cuisson. Réserver. (Cette étape permet d’enlever toutes les impuretés de la viande, de réduire le gras et de rendre la viande plus moelleuse).
  • Dans une marmite sur feu assez vif, faire le caramel avec le sucre et l’eau. Dès que le sucre commence à légèrement brunir, mélanger rapidement (le caramel est très liquide). Éteindre.
  • Hors du feu, ajouter aussitôt les morceaux de porc, les 2 gousses d’ail restantes finement hachées, mélanger au caramel et les remettre sur le feu. Faire revenir très rapidement en nappant la viande de caramel. Verser l’eau de coco, le nuoc mam, le sel. Poursuivre la cuisson à couvert pendant 1 heure 15 en maintenant un léger frémissement.
  • A 30 minutes avant la fin de cuisson, ajouter les œufs durs écalés et le poivre. Les œufs bruniront et seront bien imprégnés de toutes les saveurs de la sauce.
  • Facultatif : Pour les amateurs de piment, à 10 minutes avant la fin de cuisson,  ciseler le piment en fines rondelles et ajouter à la viande.
  • Pour le service : Mettre le porc, les œufs coupés en 4 (dans le sens de la longueur) et la sauce dans un grand bol de service. Parsemer de ciboulette ciselée.

N.B. Pour ce plat, la sauce n’est pas sirupeuse mais liquide.

Et voilà un succulent porc au caramel prêt à la dégustation ! À servir avec du riz blanc parfumé (pas de fantaisie svp, un riz cantonais (chinois !) est hors de propos ici ! 😉 ) avec par exemple des liserons d’eau sautés ou comme moi, du chou chinois coupé et cuit dans un bouillon pendant 15 minutes. Au nouvel an vietnamien, on sert ce plat avec des germes de haricots mungo marinés dans du vinaigre de type « pickles » (dưa giá).

Traditionnellement, on sert le porc au caramel et les légumes ou accompagnements dans des plats séparés, chaque convive a son bol de riz rempli et se sert directement dans les plats à disposition sur la table.

Bonne dégustation et bon appétit !!!

Ciné Gourmand : Extrait de « Sucré Salé » (Yin shi nan nu) de Ang Lee

Si vous n’avez pas encore eu le plaisir de voir cette comédie dramatique « Yin shi nan nu » (titre en français : « Sucré Salé » ou en anglais « Eat Drink Man Woman« , sorti en 1994) du fameux réalisateur taïwanais Ang Lee (Garçon d’honneur, Raison et sentiments, Tigre et dragon, Le secret de Brokeback Moutain…), je vous le conseille chaudement.

Synopsis :

Un grand chef cuisinier, Maître Chu, le plus réputé de Taipei, prépare de somptueux repas traditionnels pour ses trois filles avec lesquelles il vit et qu’il élève seul. Celles-ci, adultes et rebelles, ne semblent pas en mesure d’apprécier ces repas, toutes préoccupées par leurs propres problèmes existentiels et vie sentimentale : l’aînée, professeur de chimie, se convertit au christianisme; la cadette voit ses projets professionnels contrariés; la benjamine, étudiante, travaille dans un fast food. Et c’est sans compter l’arrivée de Mme Liang, veuve, qui emménage à côté…

La scène d’ouverture (extrait ci-dessous) nous plonge dans la cuisine du chef cuisinier, préparant avec grand art, le repas traditionnel, avec de magnifiques gros plans sur ses gestes révélant tout le savoir-faire d’un grand maître de cuisine. Un ballet envoûtant qui nous fait saliver devant tous ces mets exquis… Extrait.

Tofu au sirop de gingembre (Tàu hũ nước đường)

Tofu au sirop de gingembre de La Kitchenette de Miss Tam 1 copie

Le tofu au sirop de gingembre ou en vietnamien Tàu  nước đường est un délicieux entremet vietnamien à base de caillage de lait de soja (tofu) arrosé de sirop parfumé au gingembre qui se mange chaud ou froid, au dessert ou au petit-déjeuner. D’origine chinoise, on trouve également des variantes de cet entremet à Hong-Kong, Taiwan, Singapour, en Malaisie et au Japon. Différentes dénominations existent selon les régions du Vietnam, au Nord on dit tào phớ, au centre à Huê ou Dà Nang on dit đậu hũ et dans le sud, on dit Tàu hũ, dans lequel on rajoute parfois des feuilles de pandanus ou du jus de coco dans la confection de tofu.

Le tofu utilisé pour ce dessert est plus soyeux et tendre que celui des plats salés. S’il est fait maison, la consistance sera idéale, proche du panna cotta, plus ou moins tendre et fondant selon son goût. Dans le commerce, nous avons de la chance de trouver des tofu assez proches de cette consistance, soyeux mais légèrement plus ferme que la texture habituelle, dans les magasins d’alimentation bio ou asiatique, ou encore dans les supermarchés. Sinon, très pratique aussi, il existe de la poudre de pudding tofu à faire soi-même à la maison (mais je n’ai pas encore essayé).

Tofu au sirop de gingembre de La Kitchenette de Miss Tam 4 copie

Durant mon enfance, il n’existait pas encore de magasins d’alimentation asiatique comme Tang Frères ou Paristore à Paris, tout juste quelques rares petites épiceries asiatiques vietnamiennes ou chinoises. Il fallait ruser en cuisine et trouver des produits de substitution pour réaliser nos plats. Au début des années 80, Paristore et Tang Frères ont vu le jour à Paris. Les produits asiatiques jusque-là introuvables (ou difficilement) ont permis de faciliter la réalisation de la cuisine asiatique avec des saveurs plus authentiques. Cependant, point de poudre de pudding de tofu ou de sachet de tofu soyeux prêt à l’emploi comme aujourd’hui.

Ainsi je revois encore mon père, gourmand et plein de courage, faire son propre tofu soyeux pour nous offrir ce délicieux dessert : trouver les grains de soja (des petites billes rondes de couleurs beige), les faire tremper une nuit, les mixer avec de l’eau, filtrer pour recueillir le lait de soja, faire bouillir en ajoutant de la poudre de gypse (sulfate de calcium, un coagulant) et de la farine de riz, ajouter des feuilles de pandanus pour parfumer le tofu, puis laisser figer quelques heures avant dégustation… Quel boulot et quel talent ! Son tofu au sirop de gingembre était un vrai bonheur gustatif !!! Ce dessert à lui seul est une évocation de mes meilleurs souvenirs en cuisine durant mon enfance.

Pardonnez-moi si aujourd’hui je vous propose seulement la version paresseuse de ce dessert… tel que je le fais. Mon humeur gustative laisse place à l’impatience papillaire de retrouver le soyeux du tofu baignant dans un délicat sirop parfumé au gingembre… et le goût de l’enfance !

Recette du tofu au sirop de gingembre ou le Tàu nước đường

Pour 4 personnes.

Ingrédients :

  • 400 g de tofu soyeux (par ex. de la marque Soy dans les magasins bio)
  • 200 g de sucre brun ou roux
  • 200 ml d’eau
  • 1 gros morceau de gingembre frais (5 cm)

Préparation :

  • Éplucher le gingembre et couper en julienne. Réserver.

Che Troi Nuoc 3 La Kitchenette de Miss Tam

  • Sirop : Mettre dans une casserole le sucre et l’eau, mélanger et porter à ébullition. Ajouter le gingembre en julienne dans le sirop. Et poursuivre la cuisson à feu doux pendant 15-20 minutes. Laisser refroidir.

Che Troi Nuoc 4 La Kitchenette de Miss Tam

Banh Lot de La Kitchenette de Miss Tam 17

  • Prélever le tofu à l’aide d’une cuillère à soupe, des tranches fines. Déposer 3 ou 4 tranches fines de tofu soyeux dans chaque bol.

Tofu au sirop de gingembre de La Kitchenette de Miss Tam 5 copie

  • Verser le sirop refroidi (soit filtré sans gingembre, soit tel quel avec quelques filaments de gingembre pour corser le goût).
  • Au choix : servir frais ou chaud.

Amateurs de gingembre et de tofu, ce délicat entremet est fait pour vous ! Bonne découverte et bonne dégustation !

Tofu au sirop de gingembre de La Kitchenette de Miss Tam 3 copie

Filet mignon aux abricots et pistaches

La Kitchenette de Miss Tâm - Filet mignon aux abricots et pistache

Ce filet mignon look sushi vous rappelle quelque chose ? En effet, j’ai déjà publié sa photo le 17 décembre dernier, le jour de sa première réalisation, une inspiration et humeur gustatives, une recette originale. Sa recette m’a été réclamée alors, mais je n’avais rien noté sur le moment. Un deuxième essai durant les fêtes de fin d’année m’a permis de fixer les quantités des ingrédients, d’améliorer le goût et… de mettre noir sur blanc la recette.

Ainsi je suis partie de l’idée du filet mignon farci aux pruneaux que nous connaissons tous. J’avais très envie d’un rôti tendre, un mélange sucré-salé, un petit goût de fumé du bacon, un peu d’épices pour leurs saveurs et parfums subtils, de la texture en bouche (tendre, croquant) et des couleurs pour les pupilles. Et la touche finale, présenter des jolies petites rondelles à la façon des sushis. Et voilà mon filet (très) mignon farci aux abricots et pistaches !

Recette du filet mignon farci aux abricots et pistaches

Pour 4 personnes – Temps de préparation : 30 mn – Temps de cuisson : 20 mn pour les abricots + 50 mn à 1h pour le(s) filet(s) mignon(s)

Ingrédients :

  • 2 filets mignons de porc de 400 g
  • 8 tranches fines de lard fumé
  • 200 g d’abricots séchés
  • 100 g de pistaches crues émondées
  • 4 échalotes
  • 250 ml de bouillon de poule (ou un grand verre)
  • 50 ml de Porto blanc
  • Huile d’olive
  • 1 /2 cuillère à café de 4 épices
  • Sel, poivre du moulin

Préparation :

  • Dans une poêle chaude, faire revenir les pistaches pendant 5 mn. Laisser refroidir puis hacher grossièrement 50 g de pistaches grillées et laisser 50 g de pistaches entières. Réserver.
  • Couper les abricots séchées en deux ou en dés.
  • Éplucher et couper 2 échalotes en petits dés, puis les faire dorer à la poêle dans un peu d’huile d’olive. Ajouter les abricots coupés, les pistaches hachées et entières, et les faire revenir à feu vif pendant 5 mn. Ajouter un peu d’huile si nécessaire. Verser le bouillon et le Porto blanc, ajouter les épices, saler et poivrer selon goût. Laisser compoter à couvert sur feu doux pendant 20 mn. Rectifier avec sel et poivre si besoin.
  • Préchauffer le four à 200°C (Th. 6/7)
  • Couper dans la partie épaisse du filet et l’ouvrir en deux, dans le sens de la longueur (voir photo ci-dessous). L’aplatir sur toute la surface au rouleau à pâtisserie.
  • Filtrer les abricots et pistaches, réserver le jus. Garnir sur toute la longueur, au centre des filets ouverts. Rouler les filets mignons. Entourer de tranches fines de lard fumé (la quantité donnée est indicative – il faut adapter à la taille des filets pour les recouvrir entièrement). Ficeler.
  • Éplucher et ciseler grossièrement les 2 échalotes restantes.
  • Dans un plat allant au four, mettre les filets mignons ficelés, ajouter les échalotes  autour, arroser du jus de cuisson des abricots sur le tout et terminer par un filet d’huile. Baisser le four à 180°C (Th. 6), enfourner à mi-hauteur, et laisser cuire 50 minutes à 1 heure.
  • Après cuisson, laisser reposer la viande une dizaine de minutes. Pendant ce temps, réserver le jus de cuisson dans une saucière ou un bol. Couper 3 à 4 rondelles épaisses de filet mignon et servir avec du riz ou un accompagnement de votre choix. Mettre à disposition la sauce pour le service à table.

Le filet mignon est tendre et moelleux à souhait, parfumé d’épices et un soupçon de Porto, avec une farce sucrée-salée, douce et légèrement croquante en bouche… Un vrai moment de régal pour les papilles et les pupilles ! 

Bon appétit les Gourmandes et les Gourmands !

Le poulet rôti façon Jamie Oliver ou The Perfect Roast Chicken

 

Une fois n’est pas coutume, moi qui aime tant improviser dans les plats salés, ou m’inspirer de recettes de chefs ou de blogueurs en les détournant à mon goût, j’ai assez fidèlement suivi la recette du poulet rôti façon Jamie Oliver de Scally du blog C’est moi qui l’ai fait (voir dans ma liste de liens gourmands), elle-même transcrite de la recette The Perfect Roast Chicken de Jamie Oliver. À vrai dire, j’ai suivi les ingrédients de Jamie Oliver, la préparation de Scally et rajouté des pommes de terre à la cuisson comme l’indique Jamie Oliver sur son site.

Ce Naked Chef anglais me surprendra toujours pour la simplicité de ses recettes qui nous mènent pourtant vers les sommets des saveurs ! Son poulet rôti est purement une merveille, tellement savoureux et moelleux, avec une peau bien croustillante, et les légumes et pommes de terre qui ont cuit dans son jus sont à tomber… Dès les premières minutes de cuisson, d’envoûtants parfums de céleri, d’ail, d’oignons, de thym et de romarin donnent déjà le tournis. Ivresse et promesse de moments gustatifs divins… Promesse tenue !

Voici donc la recette…

Ingrédients :

  • 1 poulet fermier élevé en plein air de 1,6 kg
  • 2 oignons moyens
  • 2 carottes
  • 2 branches de céleri
  • 1 tête d’ail (Scally du blog C’est moi qui l’ai fait, suggère 5 gousses d’ail non pelées)
  • Huile d’olive
  • Sel, poivre du moulin
  • 1 citron non traité
  • 1 brin de thym frais (j’ai mis un brin de thym séché)
  • 1 brin de romarin frais (j’ai mis un brin de romarin séché)
  • 6 pommes de terre (j’e les ai rajoutées selon une suggestion de Jamie Oliver dans sa recette sans qu’il précise la quantité)
 Préparation :
  • Sortir le poulet une demi-heure avant de le cuire. Préchauffer le four à 240°C (Th.8).
  • Peler les carottes et les oignons. Couper les carottes en grosses tranches (moi j’ai coupé en rondelles) et les oignons en gros dés.
  • Couper le céleri en tronçons.
  • Disposer les légumes dans un plat allant au four. Détailler la tête d’ail et disposer les gousses non pelées sur les légumes. Saler, poivrer et verser un filet d’huile.
  • Ajouter le thym et le romarin dans la cavité du poulet.
  • Laver le citron et le rouler en pressant un peu. À l’aide d’une fourchette ou d’une pointe de lame de couteau, piquer tout le citron et le déposer dans la cavité du poulet (voir photo).
  • Déposer le poulet sur le lit de légumes, saler, poivrer et l’arroser d’huile d’olive.
  • Enfourner le poulet, puis baisser la température à 200°C (Th.6/7). Laisser cuire environ 1h30 au total. Après le premier quart d’heure de cuisson, arroser le poulet d’un peu d’eau. Répéter l’opération toutes les 20 minutes jusqu’en fin de cuisson.
  • Laver, peler les pommes de terre et les couper en gros morceaux. Les ajouter au poulet et aux légumes, à partir des 45 dernières minutes de cuisson du poulet.

À la sortie du four, découpez le poulet, recueillez le jus de cuisson et l’arroser sur le poulet et servez avec les légumes et les pommes de terre et/ou autres accompagnements de votre choix.

Voilà un plat succulent et tellement simple à faire ! Vous serez conquis ! Bon appétit !!!

Sources:
Recette originale de Jamie Oliver
Recette retranscrite de Scally (Pascale Weeks) du blog C’est moi qui l’ai fait