Chouquettes au chocolat et à la cannelle

On quitte provisoirement le Vietnam pour des humeurs gustatives autour des chouquettes. La pâtisserie… mon autre passion. C’est mercredi et j’associe sans peine ce jour de la semaine à la pâtisserie et aux délicieux goûters gourmands ! Cela me ramène aussi vers la première recette postée sur ce blog il y a seulement huit mois, quasiment jour pour jour, des chouquettes ! Le temps passe si vite.

Pas de fraises, pas de crème, pas de jolies décorations et de couleurs… Voici une petite douceur qui n’a rien de spectaculaire mais qui est ô combien délicieuse et…simple à faire! Chez moi, on aime le cacao et la cannelle. Rien de plus normal que d’ajouter ces ingrédients dans les chouquettes, de varier avec des pépites de chocolat (qui ne sont pas en photo ici) si l’on veut, ou d’ajouter d’autres ingrédients (pâte à pistache, pralines, canneberges, zestes d’agrumes…) encore au gré des envies. La pâte à choux est une base incroyable.

Voici une recette facile et simple à réaliser. Il faut juste un peu de patience encore chaque (trop) longue fournée, essayer de ne pas se jeter sur ces petites boules de douceurs pour les faire disparaître aussitôt sorties du four… C’est sans doute là, la plus grande difficulté de cette recette !

Pour 50-60 petites chouquettes. Préparation : 15 mn. Cuisson : 25 mn par fournée (x 3 fournées)

Ingrédients :

  • 120g de beurre
  • 4 œufs
  • 1/4 litre d’eau (250 ml)
  • 130 g de farine
  • 1 cuillère de cacao non sucré en poudre (de type Van Houten par exemple)
  • 1 cuillère à soupe de sucre en poudre
  • 1/2 cuillère à café de cannelle
  • 1 pincée de sel
  • 50g environ de graines de sucre + (facultatif : pépites de chocolat pour faire des chouquettes tout chocolat)

Préparation :

  • Préchauffer le four à 200°C (th.6 /7) à chaleur tournante.
  • Mettre dans une casserole (si possible à fond épais) les 25cl d’eau, le sel, le sucre et le beurre froid coupé en morceaux, puis chauffer sur feu vif tout en remuant. Au bouillon, retirer la casserole du feu.
  • D’un seul coup, ajouter la farine et mélanger vigoureusement avec une cuillère en bois jusqu’à ce que la pâte ait une consistance bien homogène et se décolle des parois de la casserole. Ajouter le cacao et la cannelle. Bien mélanger.
  • Remettre la casserole sur feu doux et bien mélanger la pâte pendant 1 à 2mn pour assécher la pâte.
  • Hors du feu, ajouter les œufs un à un, en mélangeant énergiquement jusqu’à l’obtention d’une pâte épaisse et molle.
  • Sur une plaque à pâtisserie chemisée de papier sulfurisé, faire des petites boules de pâte de la taille d’une noix avec espacement de 2 cm entre chaque chou (ça gonfle!) soit avec une poche à douille pour les perfectionnistes bien équipé(e)s, soit à l’aide de deux cuillères à café pour ceux ou celles qui sont habiles des mains (ou paresseuse comme moi). Compter 20 à 25 petits choux par plaque.

  • Parsemer de perles de sucre (ou de pépites de chocolat au choix ou les deux) à la main pour mieux maîtriser la quantité. Beaucoup de sucre ou de pépites de chocolat vont rouler sur la plaque. L’astuce consiste à prendre la plaque et la faire tourner en rond pour agglomérer le reste de perles de sucre ou de pépites de chocolat autour des choux.
  • Enfourner à mi-hauteur à 200°C pendant 25 minutes (attention, tout dépend de votre four!). Les chouquettes doivent être bien gonflées. Prolonger la cuisson de 5 minutes si nécessaire. N.B. Ne pas ouvrir le four pendant la cuisson des chouquettes, cela les ramollirait.

5 g par chouquette, une tonne de plaisir… Pour les amoureux du chocolat et de la cannelle, voilà une variante de chouquettes qui plaît aux petits comme aux grands ! À la sortie de chaque fournée, les chouquettes disparaissent en un clin d’œil… 

Laos : Gâteau de riz gluant et de banane en papillote

Redescendue des douces Alpes vaudoises, après deux semaines de pause exquises sans internet, ni ordinateur, je vous retrouve avec une grande joie pour de nouvelles explorations et voyages culinaires !

Aujourd’hui, une petite déambulation gourmande du côté du Laos ? Pour sa cuisine si subtile et raffinée (voir la recette de la salade de riz croustillant ici) et pour le fameux riz gluant que j’aime tant ! Parmi les délices du Laos, voici le succulent gâteau de riz gluant au lait de coco et de banane, enveloppé de feuilles de bananier! Cuit à la vapeur, ce gâteau se déguste à température ambiante ou tiède, au petit-déjeuner ou n’importe quelle heure de la journée en collation, jamais en « dessert », bien trop nourrissants en fin de repas. Au Laos, lors de diverses fêtes, cérémonies populaires (la cérémonie de baci par exemple) ou religieuses, ces petits gâteaux de riz gluant enveloppés dans de feuilles de bananier sont également confectionnés et utilisés comme offrandes.

Enfant, j’avais de la chance de pouvoir trouver ces délicieux petits gâteaux dans les magasins d’alimentation asiatique à Paris. À première vue, ils ne paraissaient pas très appétissants : de petits rectangles aplatis enveloppés dans des feuilles de bananiers marron-vert, sous plusieurs couches de film alimentaire transparent… Cela nous prenait (ce qui me semblait…) « des heures » pour arracher enlever tout le plastique avant de pouvoir goûter à ces petites douceurs… Aussitôt oubliées les minutes d’énervement et d’impatience, l’attente en valait vraiment la peine : la récompense, le régal ! Sentir le parfum subtil de la feuille de bananier qui exhale du riz gluant, prendre une bouchée moelleuse de riz, tomber sur un bout de banane fondant, apprécier le savoureux mélange riche de noix de coco et la tendre douceur de la banane… Quel plaisir !

Pour les gourmands de banane et de lait de coco, cette douceur vous est destinée ! La recette que je vous propose ci-après ne contient pas de haricots noirs (comme on en trouve souvent aussi).

Pour 10 gâteaux de riz gluant et de banane.

Préparation : La veille + jour J 30 minutes. Cuisson : 10 minutes + 1 heure à la vapeur.

Ingrédients :

  • 250 g de riz gluant préalablement trempé dans l’eau froide pendant une nuit ou au minimum 5 à 6 heures.
  • 2 bananes mûres
  • 400 ml de lait de coco
  • 100 g de sucre roux (ou de palme) + 1 cuillère à soupe de sucre roux ou cassonade.
  • 1/2 cuillère à café de sel
  • Facultatif : 3 feuilles fraîches de pandanus coupées en tronçons de 3 cm de long. Sinon, remplacer par une gousse de vanille.
  • 1 paquet de feuilles fraîches de bananier (à Paris, on en trouve dans les magasins d’alimentation asiatique). S’il n’y en a pas, la solution de recours est l’utilisation du papier de cuisson (papier sulfurisé) pour faire des papillotes. Il n’y aura plus le parfum délicat des feuilles de bananier, mais cela sera quand même bon…
  • 20 cure-dents aux bouts pointus pour attacher. Ou du fil de cuisson si utilisation de papier sulfurisé à la place des feuilles de bananier.

Préparation :

  • La veille : Laver et rincer plusieurs fois le riz gluant, jusqu’à ce que l’eau soit claire. Faire tremper le riz gluant dans un grand récipient, en veillant à bien laisser 5 cm d’eau au-dessus de la surface de riz. Le riz va gonfler durant la nuit. Sinon, faire tremper au moins 5 à 6 heures.
  • Jour J : Égoutter le riz gluant dans une passoire. Réserver.
  • Peler les bananes. Couper en 3 parties dans le sens de la longueur, puis en deux dans le sens de la largeur. Ce qui donnera 12 morceaux de bananes. Les réserver dans un grand bol, saupoudrer d’une cuillère à soupe de sucre roux et mélanger délicatement. Prélever deux morceaux de bananes, les écraser finement à la fourchette.
  • Sur feu moyennement vif dans une casserole, chauffer le lait de coco, le sucre, le sel et les feuilles fraîches de pandanus coupées en tronçons (ou une gousse fendue de vanille). Bien mélanger sans cesser de remuer pour faciliter la dissolution du sucre.
  • Enlever les feuilles de pandanus (ou la gousse de vanille), avant d’ajouter le riz gluant au lait de coco *et la petite portion de purée de banane* (c’est une fantaisie de ma part pour parfumer davantage le riz). Baisser à feu moyen, mélanger sans cesser de remuer avec une cuillère en bois. Dès que le riz gluant commence à absorber le lait de coco, éteindre le feu. Cette opération dure en général entre 7 et 10 minutes maximum. Le riz doit rester encore humide. Laisser tiédir.
  • Chauffer l’eau de la marmite à vapeur.
  • Laver, nettoyer puis essuyer les feuilles de bananier. Découper 10 morceaux de 20 x 25 cm (j’ai noté que la largeur d’une feuille de bananier mesure généralement 25 cm sauf aux bouts bien sûr).
  • Poser un morceau de feuille de bananier, face opaque vers soi. Déposer une grosse cuillère de riz gluant au lait de coco, puis un morceau de banane, puis recouvrir d’une petite portion de riz. Envelopper d’abord en réunissant les bords de la largeur, puis replier délicatement les deux bouts pour refermer le petit gâteau rectangulaire. Attacher en piquant avec un cure-dent. (Voir photos)
  • Déposer les gâteaux dans le panier à vapeur de la marmite (chaude), couvrir et laisser cuire à petits frémissements pendant 1 heure.
  • Après cuisson, les sortir de la marmite à vapeur, les laisser refroidir avant déguster. Pour les conserver, on peut les recouvrir de film alimentaire et les garder au réfrigérateur pendant quelques jours.

À déguster froid, tiède ou chaud, on peut réchauffer rapidement au four à micro-ondes, et selon goût, saupoudrer un peu de sucre roux ou sucre cassonade sur le gâteau déballé, pour ajouter un peu de croustillant !

Bonne dégustation et bonne semaine à vous !!!

Fondant au chocolat

Une petite déambulation culinaire autour du fondant au chocolat, LE dessert préféré des Français, selon les statistiques de TNS Sofres de novembre 2012. Après avoir vu la semaine passée, la une du Journal des Femmes rubrique Cuisine, de la recette du fondant au chocolat proposée par une internaute du JDF, Eloise Vaudois, avec 1670 votes positifs, cela a vraiment titillé ma curiosité et…ma gourmandise !

Ni une, ni deux, je me suis mise illico presto aux fourneaux, fébrile, impatiente de goûter à cette merveille. Comme toujours, lorsque je fais une première fois une recette, je suis tout à la lettre. Le résultat fut excellent !

Cependant, quelques petites modifications me semblaient judicieuses pour adapter à mon goût. D’abord, la température de cuisson indiquée à 150°C était sans doute trop basse pour mon four. Le fondant, au goût délicieux mais un poil trop sucré pour moi, me paraissait un peu trop « coulant ». J’ai donc refait ce fondant avec plus de farine, un peu moins de sucre, en ajoutant un peu d’extrait de café, et en augmentant la température à 160°C. Ça reste fondant à l’intérieur, le goût est légèrement plus corsé avec l’extrait de café, et la cuisson parfaite. Mais comme pour tout fondant, c’est toujours délicat de démouler… Au lieu de beurrer le moule comme indiqué, je suggère de mettre du papier de cuisson…

Et voilà une rectification qui ne dénature pas la recette originale du fondant au chocolat.

Pour 6/8 personnes. Temps de préparation : 20 minutes. Temps de cuisson : 30 minutes.

Ingrédients :

  • 200 g de chocolat noir
  • 150 g de beurre à température ambiante
  • 120 g de sucre (au lieu de 150 g)
  • 75 g de farine (au lieu de 50 g), soit 3 cuillères à soupe bombées de farine
  • 3 oeufs (moyens)
  • 1/2 cuillère à café d’extrait de café (ajout personnel)

Préparation :

  • Sortir le beurre pour qu’il soit à température ambiante. Préchauffer le four à 160°C (au lieu de 150°C comme indiqué).
  • Faire fondre le chocolat au bain-marie. (Dans la recette d’Eloise Vaudois, elle ajoute 3 cuillères à soupe d’eau. En ce qui me concerne, je n’en rajoute jamais dans le chocolat).
  • Dans un récipient, battre le beurre et le sucre jusqu’à obtenir une mousse.
  • Ajouter les oeufs un à un en mélangeant bien entre chaque ajout.
  • (Au lieu d’ajouter la farine à cette étape comme dans la recette originale…) Verser le chocolat fondu + l’extrait de café dans la préparation. Mélanger vigoureusement.
  • (Au lieu de verser le chocolat, à l’inverse…) Ajouter la farine. Bien mélanger jusqu’à obtenir une belle préparation homogène et mousseuse.
  • Chemiser un moule de papier de cuisson (papier sulfurisé). Sinon, beurrer le moule.
  • Verser la préparation dans le moule. Enfourner à mi-hauteur et laisser cuire pendant 30 minutes. Sortir le fondant puis laisser refroidir.
  • Mettre le fondant au frais avant de le déguster. Saupoudrer de sucre glace si envie.

Accompagné de crème anglaise ou tout seul, ce fondant au chocolat revisité, inspiré de la recette d’Eloise Vaudois dans le Journal des Femmes (ici), fera le bonheur des gourmandes et des gourmands !

Thaïlande : Mangue et riz gluant au lait de coco (Khao niao mamuang ข้าวเหนียวมะม่วง)

Un clin d’œil gourmand pour une amie grande connaisseuse de la culture thaïlandaise, voici une bonne occasion pour vous présenter l’un de mes desserts préférés !

Le délicieux khao niao mamuang, est un dessert à base de riz gluant, de lait de coco et de mangue, très populaire et particulièrement apprécié en Thaïlande. C’est un classique de la « street food » thaïlandaise que l’on trouve partout dans la rue chez les vendeurs ambulants ou dans les petites gargotes. À consommer tiède ou chaud, le riz gluant délicieusement parfumé au lait de coco s’harmonise parfaitement bien avec la douceur et l’acidité de la mangue. De délicieuses variantes existent également avec des fruits tels que la papaye ou le fameux durian.

Le riz gluant, à ne pas confondre avec le riz aux grains longs et parfumés ou aux grains ronds (du Japon) qu’on déguste habituellement avec les plats salés et qui n’a ni la même texture ni la même saveur, se caractérise dans sa teneur quasi nulle en amylose et élevée en amylopectine (deux composants de l’amidon), à l’origine de son caractère collant et de son opacité. Le peuple Lao du Laos et du Nord-Est de la Thaïlande, consomme principalement ce riz, aussi bien dans les préparations salées que sucrées. Tandis que dans les autres régions de la Thaïlande ou d’Asie (Chine, Corée, Japon, Vietnam, les Philippines), à quelques rares exceptions comme le Lo mai gai (portion de riz gluant et de poulet dans une feuille de lotus et cuit à la vapeur, servi en dim sum à Hong Kong, Singapour et en Malaisie) ou le kauk hnyin baung birman servi avec des pois bouilli au petit-déjeuner, le riz gluant est plutôt utilisé dans les desserts ou plats salés festifs. (Source : Wikipedia / Riz gluant).

Voici une des versions de la recette de khao niao mamuang (mangue et riz gluant au lait de coco) telle que je la prépare :

Pour 4 personnes.

Ingrédients :

  • 2 mangues bien mûres
  • 500 g de riz gluant (on en trouve dans tous les magasins d’alimentation asiatique)
  • 400 ml de lait de coco
  • 120 g de sucre cassonade (ou sucre de palme)
  • 1/2 cuillère à café de sel
  • 1 feuille de pandanus (facultatif – on en trouve dans les supermarchés asiatiques, en sachet contenant plusieurs feuilles, au rayon frais des herbes aromatiques).

Préparation :

  • J-1 : Rincer plusieurs fois le riz gluant à l’eau froide. Dans un grand récipient, faire tremper une nuit en veillant à laisser assez d’eau en surface pour le riz qui va gonfler.
  • Le jour J : Rincer et égoutter le riz gluant. Cuire à la vapeur pendant 25 à 30 minutes. Au bout de 15 minutes, remuer délicatement le riz gluant afin qu’il puisse cuire de façon homogène. Couvrir et poursuivre la cuisson.
  • Dans une casserole, sur feu moyen faire chauffer le lait de coco avec (facultatif) la feuille de pandanus coupée en grands tronçons (pour parfumer le lait de coco). Ajouter le sucre et le sel. Mélanger sans cesser de remuer. Arrêter la cuisson dès ébullition.
  • Dès que le riz gluant est cuit, le mettre dans un récipient (ou saladier). Verser doucement les 2/3 du lait de coco (sans les tronçons de feuille de pandanus) sur tout le riz . Mélanger délicatement afin que le riz absorbe parfaitement le lait de coco. Laisser reposer un quart d’heure.
  • Découper les joues de mangue au plus près du noyau. Peler la peau, puis détailler la mangue en lamelles ou en morceaux, selon envie. Compter 1/2 mangue par personne.
  • Dans quatre petites assiettes, déposer une portion de riz à côté la portion de mangue. Au moment de servir, verser un peu du reste du lait de coco, sur le riz gluant.

À découvrir et à déguster sans modération… Bon appétit !!!

Gâteau moelleux aux pommes et à la cannelle

Ce gâteau moelleux aux pommes et à la cannelle est le meilleur compagnon de mon thé durant l’hiver. Simple mais tellement délicieux…et moelleux à souhait. Un jour après, c’est encore meilleur ! Dès sa sortie du four, au-dessus du gâteau encore chaud, paupières closes et narines offertes aux douces fragrances de cannelle, pommes et beurre, je reste immobile ainsi pendant cinq bonnes minutes. Là, juste humer pour patienter jusqu’au lendemain. Mais des ours gourmands passent et me chipent toujours une ou deux parts de gâteau, voire plus ! Sauvé de justesse, le précieux morceau arraché aux griffes de mes ours, est jalousement conservé pour mon petit thé du lendemain. Ô joie ! Et si par chance, je me trouvais à la montagne et que quelques flocons de neige tombaient, mon gâteau moelleux aux pommes serait alors absolument parfait…

Gâteaux moelleux aux pommes et à la cannelle

Pour 6 personnes. Préparation : 25 minutes. Cuisson : 50 minutes à 1 heure. Moule à kugelhopf de 22 cm (pour un joli gâteau) ou un moule à manqué.

Ingrédients :

  • 250 g de farine
  • 2 œufs
  • 150 g de beurre mou
  • 180 g de sucre + 1 cuillère à soupe de sucre pour saupoudrer sur les pommes
  • 2 pommes Golden (dont 50 g râpées grossièrement) ou seulement 1 pomme Golden coupée en petits morceaux pour la version cake
  • 100 g de fromage blanc battu
  • 1 sachet de sucre vanillé
  • 1 cuillère à café rase de cannelle
  • 1 sachet de levure
  • 1 grosse pincée de sel

Préparation :

  • Préchauffer le four à 180°C (Th. 6).
  • Dans un récipient, battre le beurre mou, le sucre et le sucre vanillé jusqu’à obtenir une mousse légère.
  • Incorporer les œufs un à un en fouettant bien entre chaque ajout. Verser le fromage blanc battu. (Pauvre gâteau… on fouette, on bat…!)
  • Râper grossièrement une 1/2 pomme (mais pas plus de 50 g de pomme râpée). Veiller à bien égoutter la pomme râpée pour enlever l’excédent de jus avant d’ajouter à la préparation. Bien mélanger.
  • Ajouter la farine, le sel, la levure et la cannelle. Mélanger jusqu’à obtenir une belle pâte homogène.
  • Beurrer le moule à kugelhopf de 22 cm de diamètre à mi-hauteur. Le gâteau ne remplira pas le moule.
  • Peler et couper le reste de pommes en fines lamelles. Tapisser le fond du moule à kugelhopf (environ 1/2 pomme). Verser la pâte. Recouvrir de lamelles de pommes (1 pomme). Saupoudrer d’une cuillère à soupe de sucre, parsemer d’un peu de cannelle.
  • Enfourner à mi-hauteur à 180°C (Th.6) pendant environ 50 minutes (selon votre four et la forme de votre moule). La surface du gâteau doit être bien dorée et la lame du couteau piquée dans le gâteau doit en ressortir sèche.

À déguster le lendemain, c’est bien meilleur ! Et vous, quel est le meilleur compagnon de votre thé ou café ?